WAR FOLK. Lettonie prolongée des restrictions dans une pandémie jusqu'au 7 février

Anonim
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Les restrictions difficiles en Lettonie en raison d'une pandémie sont encore révélées à nouveau jusqu'au 7 février. Les autorités sont convaincues qu'il est nécessaire de faire face à la propagation de la maladie.

"J'exhorte la société lettone à comprendre toute la gravité de la situation", a déclaré le ministre de la Santé Daniel Pavlutts. - Dans les hôpitaux un grand nombre de patients gravement malades Covid-19 et il y a une tendance à la croissance, la surcharge de l'hôpital à court terme ne sera pas résolue. Par conséquent, cela dépend de nous-mêmes que nous puissions arrêter non seulement l'augmentation de la morbidité, mais également pour réduire l'incidence. "

Le Premier ministre Krisyanis Karins a ajouté qu'il n'y avait aucune raison de réviser les restrictions.

"Cette semaine dans les statistiques de l'incidence, nous avons d'abord vu la stabilité - il n'y a plus de tendance à la croissance, mais la situation dans les hôpitaux reste essentielle", a-t-il déclaré. "Nous sommes obligés de tout laisser, comme c'est l'exception des écoliers des classes junior, qui reprendra des études [25 janvier], mais à distance."

Retour à la normale

Le gouvernement letton propose d'introduire un système unifié pour annuler des restrictions et retourner à la vie normale. Construire, il veut connaître le fameux principe des feux de circulation.

Ainsi, le "feu rouge" s'allume lorsqu'une incidence de deux semaines en Lettonie dépasse l'UE du Moyen-Outre. Dans cette situation, aucune restriction ne sera annulée. Pour le moment, la Lettonie est située dans cette phase.

"Orange Light" est destiné aux situations à haut risque car le taux d'incidence n'excède pas 200 200 nouveaux cas pour 100 000 habitants. À partir de ce point, la restriction commencera à adoucir progressivement, continuant de se poursuivre sur la prochaine étape "jaune". Le retour final de la vie normale viendra dans la phase verte, lorsque le niveau d'infection en deux semaines n'excédera pas 20 nouveaux cas pour 100 000 habitants.

"Maintenant, il n'y a aucune raison de parler de la révision des restrictions, car nous sommes dans une situation absolument critique", a ajouté le chef du ministère de la Santé.

Aider les psychologues

Dans le même temps, le gouvernement était préoccupé par l'état mental des résidents après la quarantaine. Cette année, le ministère de la Santé enverra 7,11 millions d'euros pour la mise en œuvre de mesures visant à réduire l'impact négatif à long terme de la pandémie sur la santé mentale de la population. On suppose qu'en été, chaque résident du pays sera en mesure de bénéficier de 5 à 10 consultations d'un psychologue ou d'un psychothérapeute en direction du médecin de famille.

Selon le ministre de la Santé Daniel Pavluts, les effets négatifs d'une pandémie de santé mentale se feront sentir au fil des ans.

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