En Russie, nous considérons une interdiction de la maternité de substitution pour les étrangers insatisfaisants et les étrangers

Anonim
En Russie, nous considérons une interdiction de la maternité de substitution pour les étrangers insatisfaisants et les étrangers 6625_1

Selon un nouveau projet de loi, des étrangers et non mariés, les Russes peuvent être interdits de rendre les enfants à l'aide de la maternité de substitution. Ceci est rapporté par les médias, faisant référence au texte du document, où il est indiqué que, dans les résidents étrangers, ne peuvent pas être utilisés par ces services afin de lutter contre le marché de la traite des enfants.

Rappelons, la Russie est l'un des rares pays du monde où la maternité de substitution commerciale est autorisée, mais les étrangers ont souvent commencé à utiliser, au vu desquels la réaction négative de la société augmente. De nombreux avertissements semblent que les femmes et les enfants sont exploités par des étrangers riches. Le pays adhère également à la législation conservatrice dans l'espoir d'améliorer la croissance de la fécondité.

En tant que principaux arguments du projet de loi, on dit que l'utilisation de la maternité de substitution ne se conforme pas pleinement aux principes du Code de la famille de la Russie, de la maternité, des éthiquides qui relèvent de la protection juridique de l'État. Maintenant, seuls les couples matrimoniaux qui ne peuvent pas avoir d'enfants sous témoignage médical seront en mesure d'utiliser ces services, si la loi est adoptée. Ces couples devraient également être mariés depuis plus d'un an, âgé de 25 à 55 ans et ont une recommandation de médecin valide.

La réaction au nouveau projet de loi a été immédiate: l'État Douma adjoint Oksana Pushkin a appelé le projet de loi "contrairement à la Constitution".

«L'échec de devenir un parent est un crime. Un grand nombre d'enfants ne lève qu'un seul parent. Par conséquent, selon la logique des législateurs, ces enfants doivent être choisis parmi les parents solitaires, car il s'agit d'une "famille non standard", a noté Poussine, en rubrique le comité de la Duma sur la famille, les femmes et les enfants.

En réponse à celui des co-auteurs du projet de loi, le vice-président de l'État Douma Peter Tolstoï répond que l'enfant vaut mieux se développer dans une famille à part entière, ajoutant que la loi ne permettra pas non plus le même sexe couples pour faire des enfants avec l'aide de mères porteuses. Rappelons, l'été dernier, les législateurs ont soumis un projet de loi interdisant les transgendeurs à adopter des enfants, mais il a finalement été annulé après une réaction négative.

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