Cette année, l'image scandaleuse de l'anniversaire «Orange Clockwork Orange» est de 50 ans. Time Out raconte l'histoire de sa création.
Malgré le perfectionnisme frénétique Stanley Kubrick, la fusillade de la "orange d'horloge" n'a pris que six mois. Ils ont fini en avril 1971 et sont devenus l'assistant le plus rapide de toute la carrière. Après avoir quitté le film, le film a eu des réponses différentes du public américain et britannique. La partie admirait son génie, tandis que les autres accusés de promouvoir la violence. Famille Kubrick a reçu de nombreuses menaces et a été contraint de tolérer les rassemblements de protestation devant leur maison.
Les médias britanniques ont écrit sur l'influence négative de la bande sur la jeunesse et l'ont considéré comme un coupable du vol et des meurtres dans les rues. En 1973, le film a été saisi de la location britannique et interdit de démontrer jusqu'en 2000 - un an après la mort de son créateur.
Kubrick n'est pas le seul:
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Quelques mots sur la parcelleEn 1962, l'écrivain britannique Anthony Burgess a prédit un avenir immoral, publiant l'orange romain "orange". L'histoire de la première personne a été saturée avec les mots de jargon de la langue fictive "Nastsat". Son auteur était le personnage principal, le Sociopath Alex âgé de quinze ans - Le magnifique McDaullull McDaulo le joua dans son film. Le jeune homme est amoureux de la musique classique, en particulier dans les œuvres de "son vieil ami Ludwig van".
Alex et ses complices sont impliqués dans des combats, des vols et des viols jusqu'à ce que le héros soit emprisonné par Uansworth pour le meurtre sadique. Après avoir appris la possibilité de raccourcir le terme, Alex accepte volontairement de mener une expérience sur lui-même, dont l'exécution réussie de rentrera à la maison.
Thérapie "Selon la méthode de Louis" produite dans le réflexe conditionnel susceptible pour la violence - avec des réflexions sur le crime d'Alex, un terrible mal de tête et des nausées ont dépassé. Augmentation de l'effet de la "Neuvième symphonie de Beethoven", à laquelle le héros a été contraint de regarder les scènes cruelles des films - à cause de cela, il a développé la même réaction et sa musique classique préférée.
Historique des noms"Orange d'horloge" est devenue une tentative d'Anthony Bergessa pour traiter de la tragédie personnelle. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, alors que l'écrivain était à l'étranger, sa femme enceinte a été brutalement battue à Londres quatre désert de l'armée américaine, à la suite de laquelle les époux ont perdu leur futur enfant. Après cela, la femme a essayé de se terminer avec lui et, plus tard, accro à l'alcool et est morte.
Anthony Burgess
Les observations de l'écrivain derrière divers gangs de rue et leur code vestimentaire fétiche servaient une source d'inspiration supplémentaire. La formation de la nouvelle langue a été influencée par l'influence et la connaissance avec le style et la fans de Saint-Pétersbourg - Burgess a décidé que la chaise du groupe et ses amis se composent d'un mélange de mots russes et anglais, argot et gypsyins.
Une autre raison du nom inhabituel du roman - la sympathie de l'écrivain à la phrase "courbes, comme une orange d'horloge". Il utilise des transporteurs de la senior Coinnie, quand ils parlent de choses inhabituelles ou étranges. Selon l'auteur, il s'est rendu compte que cette phrase convient le mieux aux histoires sur l'utilisation de méthodes inhumaines par rapport aux personnes. En outre, Anthony a vécu en Malaisie depuis plusieurs années, où Orang Word est traduit par "homme".
Créer un filmDeux ans se sont écoulés du phoque d'orange publique. En 1964, le directeur Stanley Kubrick a publié un brillant satir politique-politique militaire "Dr Strajnzhlav, ou comment j'ai appris de ne pas m'inquiéter et j'ai adoré la bombe atomique". Le film s'est avéré ironique, pessimiste et frappé avec son exécution techniquement vérifiée.
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En 1966, l'un des écrivains de «Dr. Strajnzhlava» Terry Sarew Sauser a envoyé Roman Bergess au directeur qui a notamment ignoré, en particulier, en raison de la langue complexe. Cependant, Sarew était si passionné qu'un mode de réalisation cinématographique de l'histoire, qui a acheté le droit de travailler. Il a ensuite écrit une adaptation qui a envoyé à plusieurs producteurs, dont David Patthem. Southern a envoyé une copie du script et de la censure, mais sa lettre a été renvoyée à des non-drocerses. La réponse a lu: "Je connais ce livre, et il ne sert à rien de lire ce scénario, car l'histoire parle de la désobéissance de la jeunesse à l'État, et c'est inacceptable."
Cadre du tournage "Dr. Strajnzhlav, ou comment j'ai appris de ne pas m'inquiéter et j'ai adoré la bombe atomique"
En fait, le livre de Bergessa a lu l'épouse de Kristina Kristina et a persuadé son mari de penser à son blindage. À la fin de 1969, le directeur a toujours répondu à l'offre de Sarew. Il a terminé la première croquis du film le 15 mai 1970 - c'était la première fois que Kubrick travaillait seul sur un scénario seul.
Lieux de tirPresque toute la "orange d'horlogerie" a été retirée sur la nature deux millions de dollars en hiver de 70 à 71 ans. La maison Kubrika, qui était à l'extérieur de Londres, était équipée d'une chambre pour montage, d'un cinéma et d'un garage, qu'il utilisait comme armoire.
"Je veux travailler sur un film où je peux aller de la maison pendant une heure et demie, alors découvrez jusqu'où je peux obtenir pendant cette période à l'heure de pointe", directeur du directeur du producteur de Bernie Williams dans l'une des interviews a déclaré.
Kubrick voulait créer le monde de l'avenir le plus proche en utilisant l'architecture moderne de l'Angleterre. Dans la scène, où Alex a marché avec son ami avant de les aligner dans l'eau, le public voit Temsmid. Cette zone de Londres est connue pour les terrasses en béton, les immeubles d'appartements et les transitions de surcharge construits autour des masses d'eau.
"Appartement Alex" Kubrick a trouvé à Elstra et a complètement changé la conception conformément à la manière du personnage principal. La maison de l'écrivain Alexander, où Alex se souvient de la chanson de "chanter sous la pluie" et des viols La femme du propriétaire, a été retirée dans deux endroits différents: à l'extérieur c'était une maison à Oxfordshire, à l'intérieur - une maison à Radletette.
Les seuls spécialement conçus pour les intérieurs de film étaient la barre Korova, le registre de la prison, la salle de bain et le hall de la maison de l'écrivain.
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Composant visuelLa projection du roman est divisée par le Kubrick en trois parties. Dans le premier Alex et son gang terrorisent les résidents locaux. Ensuite, le héros est emprisonné et exposé à l'expérience. Enfin, après que la libération d'Alex et lui-même subit une violence de ses victimes et éventuellement «réveillé» - car il est impossible de changer son destin.
Chacune des trois sections a sa propre palette de couleurs et travaille avec la caméra. Pour représenter Alex à Ultra-violence, Kubrick et l'opérateur John Olcott ont utilisé une palette de fleurs brillantes. Odyssey du personnage Malcolm McDauell commence par un bar de Korova. Selon John Bakster, qui a écrit la biographie de Kubrick, le directeur représentait l'institution en tant que "temple de stimulation sexuelle des consommateurs". Bordure de floue Barre intérieure noire contrastée fortement avec des sculptures de femmes nues qui déclarent la dépravation morale et les inscriptions sur les murs. Le directeur a été inspiré par l'exposition de l'un des plus brillants représentants de Pop Art Allen Jones, où des meubles ont été présentés sous la forme de figures féminines en fibre de verre en grande taille.
Au fait, Pop Art a servi une photo d'un bon service - construit sur des combinaisons paradoxales, il reflète le mieux l'attitude des héros au monde. L'appartement des parents d'Alex est entièrement résistant à cet esthétique - colorant lumineux, surfaces brillantes et géométrie non standard hurlant sur la vulgarité. Dans la chambre du héros au lieu des rideaux suspendus au portrait de Beethoven, l'étouffissant de la vie réelle.
Contrairement à l'intérieur hurlant du monde d'Alex, la maison de l'écrivain et sa femme apparaît - il y a beaucoup de bois, de grands miroirs, qui élargissent visuellement l'espace et des peintures de pacification. Donc, le monde violent du héros s'oppose à la vie des gens ordinaires.
Le temps passé en prison et le processus de "reprogrammation" de son cerveau est présenté dans des couleurs froides et de longues cadres créent une atmosphère sombre. La partie finale du film est caractérisée par une luminosité modérée.
Des cadres encore plus longs:
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Kubrick a commencé comme photographe, a donc toujours porté une attention particulière à l'angle et à la composition. L'alignement du cadre dans le centre et une symétrie complète personnifiait la commande, le contrôle, la discipline, la logique et l'organisation - qualité inhérente à Kubrika en tant que directeur. Il a adhéré à ces principes stricts, mais dans le cas de la "orange d'horlogerie" reconnaissait que l'histoire d'Alex nécessite plus de méthodes de tir avant-gardistes.
Kubrik a intentionnellement utilisé l'objectif grand angle lorsque les événements ont montré du point de vue de Alex. Pour cela, il y avait une distorsion de l'espace, qui était parfaitement compatible avec la perception subjective et douloureuse du héros mondial. Dans la cassette, il y avait une place et une marque de marque "Kubrikovsky's View" - c'est un visage de gros plan, s'améliorer à la recherche d'une droite dans la chambre. De lui et le film commence.
"Je voulais trouver un moyen de styliser cette violence - de le faire ressembler à un ballet", a admis le directeur. Pour cela, il a joué avec un mouvement accéléré et ralenti. La scène, où Billy combat et son gang vont commettre la violence contre une fille dans un casino abandonné, rappelle la danse. En parallèle, la composition des sons Joakkino Rossini et l'image de la Vakhania est intentionnellement accélérée. Ainsi, Kubrick a ri de ceux qui ont souvent recours à ces effets sans avoir besoin.
MusiqueRibbon Kubrik parle de l'incapacité de la culture de fournir un effet moral et nettoyant sur la société. En utilisant les neuf symphonies de Beethoven comme base structurelle pour le film et en tant que signe du développement dramatique de l'intrigue, il affirme que la musique n'a que la signification que chaque personne le donne séparément.
Pour amener des motifs futuristes dans la composition du XVIIIe siècle, le directeur a adressé à l'électronique. Avec le compositeur Walter Carlos, ils ont créé les versions mises à jour de la neuvième Symphonie, "Wilhelm dit" Rossini et "Musique à la mort de la reine Mary" Persell.
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La barre est la version de synthétiseur de la dernière composition de la liste répertoriée. Un intérieur particulier de l'institution est entrecoupé avec des expressions judiciaires. Le lait avec une drogue qui boit des héros leur donne de l'énergie pour le "vieux" UltranNexium "", quel alex et son "autre" amour tellement. Ce lait est gâté de la même manière qu'une belle classique est gâtée par l'exécution sur le synthétiseur.
La figure "Ludwig Van" et ses compositions sont les côtés les plus profonds et les sombres de la nature humaine de Alex. Écoute de la symphonie, le héros connaît un plaisir physique et, dans sa tête, il y a de terribles fantasmes - il représente une explosion atomique, la peine de mort, la mort des personnes sous les pierres en ruine. Lorsqu'une expérience est effectuée au-dessus, Beethoven d'un ami se transforme instantanément à une arme contre le héros lui-même.